
Un temps annoncé par sa mère comme le nouveau petit Mozart de la bande dessinée, il s’est rapidement affirmé comme un lendemain de cuite chargé en regrets. Après avoir publié quelques pages destinées à relancer l'économie du pilonnage d'invendus, il décide de faire de la pub, métier dans lequel son cynisme et son amour de la cocaïne s'épanouissent librement.
Il vit actuellement dans un square du XVe arrondissement, tentant de vendre ses illustrations pieuses à quelques familles ultra-conservatrices en attendant de mourir d'une overdose de farfalles.